9.15.2005

En levant le poing, le cœur suit mais sans nausée.

Je l’ai connu un soir de mai. De 10 ans mon aîné, elle m’a bercée dans ses souvenirs naissants et matriciels. Par elle, idéaux féconds, elle chuchota à mes parents la pensée de mon naître. Loin fût le doute que j’épouserais leurs tendres inspirations pour forger mes espoirs. Mes rêves, qui depuis, brandissent mon poings au ciel en son sein, retrouve les siens pour s’y lover sans fin.





Aucun meurtre de mes pairs nécessaire. Le temps les ayant poussé à l’abandon. Sans recherche, je trouva la beauté dans le musé de l’épopée. Le vigile endormi, je la pris par la main pour nous enfuir d’un pas lent mais régulier. En route pour nos cœurs, à la recherche des confins oubliés. Dans ses bras, je me sens fort. Dans mes bras, elle reprend vie…






… Rêve-olution….

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