renaître pour être

Parce que les épreuves surviennent. Parce que la houle est faite « d’hauts » et de bas. Parce que trop souvent nous baissons la tête quand pourtant nous sommes auteurs. Parce que quand vient le moment de tourner une page, nous pensons amorcer une finalité. Parce que finalement il est possible de se déposer. Parce que.

sans passé, sans futur

Figer le temps, le temps d'être ensemble. Sous cette bulle, un silence nous enveloppe. Sans mot, on s'abandonne pour faire abstraction de nos différences. Et même de se comprendre. Le temps est à s'éprendre…

L'Homme âge

Putain, si ma pensée n’est point Folle, je me demande ce qui me pousse à déglutir de la sorte. Un moment est figé dans ma gorge, l’annonce d’un silence. Frissonnant, je me fais porter pâle. Pourtant dans la glace, je suis tout feu, tout flamme. « Encré » sur cette Terre aux deux pôles, je me mire et, à la place de mon reflet, un enfant dans le miroir me salue. Je lui tends la main, il la saisit et À ciel ouvert je me confesse à lui. Nul avenir n’est point davantage brillant que celui qui foulera sous tes pieds, car tu es ma lumière, mon Paradis clé en main.

vidéo à voir pour comprendre les objectifs derrière la fuite des chiffres.

Tout est politique... cliquez sur le titre...

chque pays à les chefs qu'il mérite... le québec n'est pas un pays... ses chefs sont d'un autres pays.

Fin d'un cycle.

Trépas et chute d'un empire dont seule l'idole se réclamait maître.

Fin d'un cycle.

La nuit tombe. Je tombe.

Espérant tes bras, qui n'y sont pas

Je tombe.

Où es-tu

La chaleur moite de ton sein

Le réconfort des astres de mes nuits

Où es-tu?

Il n'en est rien.

Je trouve refuge, me blottissant dans le creux de la lune

Je dors.

Je tombe.

Je m'éveille.

Seul. Il n'en est rien, car un nouveau jour se lève.

Fin d'un cycle.

Je m'éveille à moi.

Boum boum

Le cœur est constitué de deux ventricules.

Art, terre de mes moyens que je perds sans cesse
Je tente l’implosion pour ménager la surface.

Cailloux dans une chaussure ou Iscariote que je berce
Jamais plus en mon sein gauche je chanterai.

Avant la nuit sans étoile,
J’entrerai sous ta voute cathédrale terrienne
Extraire son minerai ponce.

Quand les ventricules cesseront leurs incantations en duo
Je saurai que je respire. Je saurai que j vis.

Révolution sans cesse.