10.17.2005

I.D.-H2O

Entre deux eaux et à contre courant, je vois le large comme la berge. La solitude d’une guerre froide, pleure l’effritement d’une femme. Si belle et si absolue qu’elle n’était que mirage. La fin d’une Nation, pour prendre une souveraineté fragilisée et concentrée. Reste une révolution qui, son poing serré au cœur, reprendra racines en fleurissant le gazon de la scène dramaturgique. On pleurera ses fous et on oubliera ses passions. Mais moi, je continuerai de la caresser, de la croire, de l’imaginer et de me diriger vers elle. Non, je ne cesserai jamais ma nage, même si un jour je suis atteint de la terre ferme…

1 commentaire:

R-ami a dit...

retour sur Cuba... naissance et mort d'un rami voyageur.