7.21.2006

soif de fiel

Je reprends le bâton du sourcier où je l’avais assassiné
Maudit sois-je, recherche vaine dans la voie lactée
Innocent par sa quête mais si funeste et si heureux
Son insouciance; mon sinistre malheur
Sang et vie s’écoulent en silence
Par la faute de tous et chacun
Je pleur notre impuissance.

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