6.21.2007

Entre les maux

Toutes ces images pieuses le sont si on les regarde avec un regard tel. Le périphérique de l’iris respire et c’est le signe d’un changement, d’une nuance, d’une ombre, d’une entrée. J’engouffre mon visu le temps d’un clignement. Mon cœur me trahit. Je dois voir de nouveau, car sans cette seconde dérive, je croirai ce moment un rêve. Tant de rôle nuancé pour l’affirmation d’une idée et la capture d’un moment. En un respire, je « diaphragmente ». Je suis millénaire.

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