7.25.2007

Hier devait penser à aujourd’hui.

La Minerve fendait le creux des vagues. En son sein, l’espoir de souffle neuf. Tempêtes et dérive faisant la cour aux cris et chuchotements de demain. À l’aube, l’amarre allait fouler les sables marins. Un grand pas pour l’Homme, mais sans savoir ce qui en serait pour l’humanité. La Minerve veillait. En son sein, l’espoir d’un souffle neuf. En son sein les mots pour le dire.

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