La douce attente se voit un futur assombrit, au rythme du sablier des jours. Tourné et retourné, je ne trouve que refuge au creux des 10 minutes passées. Le calendre nous approche et on sent planer le reproche. Oui, ma didactique s’enflamme car j’en ai encore tant à apprendre mais aussi tant à donner. Mes palabres sont inutiles, reste que le temps suspendu.
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1 commentaire:
Sans boussole pour se guider, ils suivent le vent et regarde la lune pour se retrouver.
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