11.18.2006

COÏT INTERROMPU

Voilà que le petit nabot saute de sa chaise quand, dans ses petits journeaux, on explique une fois encore de trop, une conséquence d'un objet sans parler de sa source. Pourtant, il faut reconnaître au petit nabot, d'avoir fait ses devoirs et d'avoir trouvé le bobo, prenant mot dans une chartre qui nous a été poignardée dans le dos. Et si les maux nous avaient été tout simplement conçus tel un fardeau ? Trop lourd à porter, le bedeau a du raccroché sa croix des écoles, car dans le courant d'une révolution qu'on a voulu « tranquillos », on est resté à low. Si on a arrêté en chemin la construction, on ne peut pas parler d'une réno car sans avoir de maison, nous avons coulé le radeau. Faisons dodo, nous aurons du lolo.

2 commentaires:

Anonyme a dit...

Vivement Mario qui devra retourner dans la pénombre de ses tuyaux sans avoir gagner le coeur de sa princesse Patrie.

Le fardeau est tel que nous nous aplaventrissons chaque jour, les yeux bandés à se faire enculer.Je me sens pourtant irrité par le profiteur qui profite sans mérite. Il doit utiliser du bon lubrifiant car l'irritation ne semble pas atteindre toute la Nation.

R-ami a dit...

ouch... quand la pilule est facile à avaler c'est peut être qu'elle était toute en molesse et que la prochaine fois qu'un suppositoire soit demandé, il en manque un dans la boite.