2.28.2007

Arpentant ruelle, parc et lieu de culte à la recherche de sa virginale image. Pourtant, dressé contre désir, retenant mon souffle pour apaiser les braises de son bas ventre, déchirante vérité nue. Hivers obscurs ont engendré moiteurs des étés, nous collant aux pilotis du creux de ses hanches. Encré à son cœur et à son corps en transe, le spasme de vivre se fait latent. Tout sourire, je veille au grain car pour des demains qui chantent, le vide doit cesser l’écho d’un passé imparfait.

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