3.14.2007

Constat à l’amiable commandité par….

Au lendemain d’un débat à trois, on ne peut que s’amuser de voir l’unité au sein de la filiale du parti libéral qui ne pouvant cacher la piètre performance de leur élu, doivent avancer le plan B; Diviser le vote. Le grand vainqueur de la soirée, que tous s’amusent à dénigrer depuis un an, c’est montré en control de ses dossiers et a enfin eu la parole qu’on a tenté de lui enlever tout au long de la campagne.

Mais surtout, en ce lendemain, amoindrir cette victoire c’est surtout de ne pas l’ignorer mais la diluer. Pour faire élire leur grand frisé et sauveur du Canada, la solution demeure de polir les propos vide du troisième. Propos qui soit dit en passant se rapproche de leur nombreuse filiale de privatisation mais qui demeure tout de même une arme à double tranchant. D’une part elle sert le camp des droitiers par la passe subtilement amorcé par le filet fragile du champ gauche mais se montrer aussi un danger pour les canadiens car leur nouveau poulain est ambidextre; où va-t-il scorer quand il aura le vent dans le dos?
De leur plume clavier, un mythe se crée. Mais attention car l’objectif n’est pas de le féliciter entièrement. Par soucis de professionnalisme? Jamais.

Nuance de mot chez power corporation est un art. En faisant des beau yeux à l’unissons à ce troisième protagonistes, on dirige le regard de certain qui n’aurait pas suivit le débat et la campagne. Au nom du professionnalisme il use de ce pouvoir et font la passe ainsi à leur chef; le frisé qui en silence va digérer les ulcères de son piètre mandat et performance de la veille. Il peut se reposer, la division va s’opérer.

Car effectivement cette campagne aura été celle de la division au reflet du règne des libéraux sortant. En tirant la couverture de part et d’autres et en éloignant le dialogue le mécontentement fut roi et la division sa carte maîtresse. Combien de sujet de société fut traîné dans la boue? Combien de faux dialogues amorcé?

Mais cette division a porté fruit; Les mécontents ont trouvé refuge dans ce qu’ils ont vu comme une voix du changement. D’une part dans un vieux parti qui se porte à la défense aveugle et à tâtons de tout ce qui bouge, au risque même de se contredire dans un but électoraliste et de l’autre d’une nouvelle formation. Cette dernière, sous le voile de la démocratie tente de faire attendre sa voix et favorise la division de son plus proche collaborateur. N’aurais t-elle pas du attendre et militer pour la proportionnelle et la reconnaissance des annulation de vote plutôt que d’offrir une division par idéalisme? Un idéalisme qui sert aujourd’hui a diviser plutôt que rassembler et collaborer au même titre que le plan B de faire passer les intérêts la victoire du frisé.

C’est quand même drôle la démocratie…

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