Je vais voir le visage de l'océan.
Je vais respirer ses doux conseils.
À l'est de nos terre, je chanterai notre existence.
L'anse se fera douce mais lourde de patience.
Mon doigt au thorax, là où je pointe,
un trou s'est forgé par sa force.
Ici, où le pêcheur mérite respect malgré ses secrets,
retourne avec joie, à l'aube, écouter ses chants de regrets.
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
2 commentaires:
.....et où les filles ont les tetons dures..!!!
c'est une autre vision qui ne manque pas de poésie... on voit bien l'image.
Publier un commentaire