7.13.2005

COMPOSÉ POUR LE 15 FÉVRIER 2005

GODDAM
À la balançoire de vos vies, vous avez balancé. Sans rire d’enfants, le soleil se leva. Une multitude de murmures se font entendre et charcutent les soupirs satisfaits de vos ennemis. Bercés au son du vent froid de février, le silence s’est amplifié, laissant l’obscurité même au sens des mots. La vision voilée de la noirceur enneigée, seul le rouge des habits gorgeait votre cœur. Souillés des restes de votre courage, la raison vous échappa pour ainsi dire que l’amour resta. Dans vos mémoires, je me couche. Dans vos rêves, je m’éveille.
Vos colonnes devant nos temples devraient se dresser.

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