7.15.2005

SOLITUDE DE LA MASSE, INDIVIDUELLEMENT GROUPÉE

De ma solitude entourée, je puise dans le néant. Trop de servitude et pas assez d’indignation ne s’élèvent de vos pas. Tel un regard, aveuglé par un voile, je tente ma lancé dans le vrai, quand je sais que, je me ferme la porte du faux-semblant. Mais mon âme nage en eaux profondes et les abysses du rêve me caressent, tout de même, l’épiderme dorsal. Pendant ce temps, mes yeux cherchent à distinguer ceux qui aiment la surface par peur de manquer de souffle. Physique en public, l’armateur de mon moi passe sur la chaise électrique puisque sans suite aux échos criés, je m’encage. L’endoctrinement jadis servait de somnifère, mais trop d’efforts demandés, reste seulement la pilule dorée. Ait pitié de leur âme car il ne savent pas ce qu’ils font… mais le sais-je davantage? Laissez moi en douter et le retourner car si aucune véracité je veux me faire rembourser.

Aucun commentaire: