7.13.2005

Une excuse n'est pas valable pour ceux qui pense penser

Parfois, tel un humain errant, je regarde autour en quête de réponses. Réponses à mes peurs certes mais surtout réponses au temps qui passe. Ces vents pervers et incontournables qui ne cesse de me chuchoter à l’oreille de doux baisers invitants. À moins, que ce ne soit la mort ou encore pire le libre choix. Car malgré les publications officielles, l’option ne se trouve pas dans un manuscrit, une charte ou du papier cul. On le trouve entre chaque (hu)mains. Choix du mode de vie, choix des amis et choix des choix… Pour le premier, difficile de vivre aux bans de la société mais quand je peux m’y reposer pour seulement mieux m’y dresser… Ça va. Secondo, sélectif, on se ramasse un jour ou l’autre à la sellette au select. Puis finalement, pour choisir ses choix, faut y avoir pensé et peu de « penserons » s’y arrête de peur d’une faute. Pourcentage, sondage, vérification, analyse, firme… ce ne sont là que les supposés "paramètres" de la pensée des faibles. Tant de gens s’efforcent à suivre le chemin sacro-saint déjà tracé par le père de nos pères qui malheureusement n’est plus présent pour nous dire qu’il ne ferait pas ainsi. Alors cette route tortueuse, présente la face de son escale pour ceux rentrant dans les rangs de l’obéissance absolutrice mais tant réductrice.

Aucun commentaire: