7.17.2005

Seul dans mes quartiers, vous êtes en sécurité.

Je me suis trompé… Je tends la main mais souvent on y voit une attaque. Je bouillonne de passions on dit de moi : Être colérique. Je dialogue, j’ai soif d’échanges mais les portes se ferment. Je rêve d’expérimenter et de partager nos songes mais les accès sont trop éclairés. On ne désire que de pénombre solitudes. Et quand je tente de souffler dans les voiles, on ne sent que tornades… Et pourtant… L’asthme m’essouffle.
Je me suis trompé… Mais je ne trompe pas. J’affirme, je m’affirme et je confirme. Quand je pourrai accompagner en toute égalité. Sans compétition, sans détour et sans envie. Que le sentier que je prendrai ne sera pas suivit mais défriché à mes côtés… Non pas au même rythme mais avec une volonté véritable. À quand le moment où, tel deux enfants, nous tiendrons, à tour de rôle, le vélo en enlevant nos petites roues.
Je me suis trompé. En espérant aider, je forge le malaise. Pourtant, je ne suis qu’un Homme qui cherche le chemin. Égaré, perdu et souvent découragé. Le doute me fait également chercher signes. Sans Halo et sans réponse, il me reste la conviction qu’au bout il y tant. Le bout ne venant qu’à la fin, je fermerai mes yeux en me disant quel beau voyage… J’aurais tant voulu le continuer. Je ne me serai pas trompé…

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